Après la bouse de vache au cours de maths, une attaque surprise dans les toilettes! je courais un sprint jusqu'à ma chambre et ferme la porte derrière moi. Je me laisse tomber au sol. Ce qui était bien dans ce lycée c'est que l'on pouvait décorer notre chambre comme on voulait. Je pense que c'est l'un des seuls point positif de cet établissement, mais ce n'est que mon avis... Ma chambre donnait sur le parc et je pouvais voir une discussion entre Sora et Chikyùu. Elle ressemblait a un salon de thé que l'on pouvait trouver à Londres en 1913. Les murs étaient cachés par de vielle bibliothèque, mon lit qui se trouvait juste sous la fenètre, était lui aussi dépoque mais des peluches d'évolie et de ces évolution cassait un peu l'ambiance sérieuse qui y régnait. En dessous des tiroir me permettait de ranger mes uniformes. Des vieux fauteils entourait une petite table basse ou un service a thé trônait.

Je me relève, enlève la ventouse de ma tête et m'allonge sur mon lit. Je n'en pouvais plus, ce lycée me gavait mais je ne pouvait partir! Sora et Chikyùu ne savent toujours pas comment résoudre des équations et il a besoin de son assistante pour s'occuper des réunions à sa place. ça me fait penser, il y a un élève dans ces réunions que je ne connais pas... Charmant mais pas mon style qui ne porte jamais son uniforme.

-"Quel honte!" lâchais-je dans ma chambre vide.

"Mince j'ai parlé tout haut! j'espère que personne ne m'a entendu! J'ai déjà assez soufaire comme ça!" je me relève et me dirige vers la porte pour regarder dans le couloir

Aslög bailla une énième fois en reportant son attention sur son livre de cours. Elle avait profité de l’absence d’élève dans la salle de séjour pour s’y installer. Les fauteuils étaient bien plus confortables que dans une banale salle de cours.
Son casque audio vissé sur les oreilles, elle s’accouda à la table et ses yeux bruns parcoururent rapidement le texte qu’elle devait étudier.
Franchement peu désireuse de travailler, la suédoise laissa son regard se perdre vers la fenêtre de laquelle elle pouvait apercevoir les élèves qui déambulaient dans le parc. Evidemment, vu le beau temps ; ça expliquait bien qu’ils aient tous désertés la salle de séjour.
Alors qu’elle se concentrait une nouvelle fois sur son devoir, elle vit une fille aux cheveux bruns débouler en courant, l’air excédé, et se précipiter dans son dortoir.
Aslög haussa un sourcil. Il y avait vraiment des gens bizarres. La brune entra en trombe dans sa chambre et claqua la porte.
Sans dire un mot, la suédoise se contenta d’augmenter un peu plus le volume de son mp3. Elle n’allait pas se laisser déconcentrer.
Le calme revint quelques minutes, et la blonde crut qu’elle pourrait réellement commencer à travailler.
C’était sans compter sur le « Quelle honte ! » qui fut crié. Du dortoir des filles.
Aslög fronça les sourcils et décida d’ignorer la plainte. Sauf qu’il y en eut une autre :
« Mince, j’ai parlé tout haut ! J’espère que personne ne m’a entendu ! J’ai déjà assez souffert comme ça ! ».
La suédoise retint un sarcasme. Peut-être que si elle voulait cesser de souffrir il fallait arrêter de parler seule ? Sérieusement, les élèves de ce campus étaient tous atteints.
La porte d’une des chambres s’entrouvrit et une brune – la même que celle qui était arrivée en courant – passa la tête pour observer dans le couloir.
Aslög se contenta de froncer les sourcils. Et d’ajouter d’un ton neutre.
« Je t’ai entendu. Maintenant si tu pouvais baisser d’un ton ce serait bien. Il y en a qui bossent ici. »

« Je t'ai entendu. Maintenant si tu pouvais baisser d'un ton ce serait bien. Il y en a qui bossent ici. » lâcha sèchement une voie dans la salle de séjour qui se trouvait à côté de ma chambre. Mais de quoi je me mêle? Je ne pouvais tolérer cette affront. J'ouvre grand la porte et la referme violemment en faisant le plus de bruit possible. Je ne voulais pas la voir en face je suis trop timide je n'aurais jamais eu le courage... Je me suis assise sur le lit entouré de mes peluches en tendant l'oreille

A sa réplique, la brune se rembrunit, apparemment vexée par sa remarque, et claqua la porte de sa chambre aussi fort qu’elle le put.
Sans le moindre mouvement attestant d’une quelconque surprise, Aslög observa tranquillement la fissure qui s’était formée sur le linteau, puis inspira profondément. Elle retira son casque de ses oreilles, le laissant accroché à son cou, puis se leva lentement.
Elle parcourut silencieusement les quelques mètres qui la séparaient de la porte de l’importune, puis toqua mollement sur le bois sombre.
Sans attendre la moindre réponse, elle abaissa la poignée et jeta un coup d’œil à la chambre.
La jeune fille qui l’avait gênée par son bruit se tenait là, assise sur son lit, encadrée par une rangée de peluche de pokémons.
La suédoise haussa un sourcil. La jeune brune avait l’air vraiment peu à l’aise, bien qu’énervée – toujours à cause de sa réplique ? -.
« J’ai demandé moins de bruit, fit-elle posément comme si elle ne faisait que faire une simple constatation, Et je pense qu’essayer de défoncer la porte n’est pas une solution. »
Elle marqua une pause, inspirant doucement pour rester un minimum aimable.

« J’ai demandé moins de bruit, fit-elle posément comme si elle ne faisait que faire une simple constatation, Et je pense qu’essayer de défoncer la porte n’est pas une solution. » c'est ce que venait de dire la fille.  Elle ouvre la porte et me regarda blasé.
Je ne savais quoi dire et je restais sur mon lit.
-Je m'appelle Lou.
Après cette phrase je lui tends ma peluche de voltalie que j'avais pris sur mon lit. J'attendait, allait-elle la prendre ou non?

Elle dévisagea la jeune fille un instant d’un air neutre. Ladite jeune fille resta immobile sur son lit, l’air déconcerté. Elle finit par se saisir d’une peluche d’un jaune criard avant de déclarer doucement :
« Je m’appelle Lou ».
Aslög haussa un sourcil. Si on pouvait lui expliquer le rapport… Et est-ce qu’elle ne venait pas de râler ? En principe on ne répliquait pas en se présentant…
La brune – Lou, donc – observa un instant sa peluche puis la lui tendit, et attendit, un air curieux sur le visage.
Nouvel haussement de sourcil. La suédoise dévisagea l’objet, déconcertée. Cette fille était vraiment bizarre. Elle venait de subir un reproche, et elle lui offrait un cadeau.
Et quel cadeau bizarre au passage. Une peluche d’un pokémon – dont Aslög n’arrivait pas à se souvenir le nom, elle n’avait pas suffisamment suivi l’engouement pour cet univers lorsqu’elle était enfant – jaune pétant et aux yeux sombres sensés attendrir…
Elle secoua légèrement la tête.
« Aslög. Hårklämma. Et tu m’excuseras mais ton truc – elle désigna la peluche d’un signe de tête – ne m’intéresse pas ; garde-la, ce sera mieux. »
On ne pouvait pas lui reprocher d’être méchante là ? Si ?

(NDA : Siiii ! Aslög a un caractère de merde ! Elle est littéralement incapable de se socialiser, c’est incroyable….)

Mince elle n'avait pas pris ma peluche! Elle a donc un peu de cerveau pas comme les autres dans ce lycée. Je retourne ma peluche et me lève pour lui montrer quelque chose.
-Cette peluche est équipé d'un système de défense... Si tu avait pris cette peluche elle t'aurais électrocuté. La plus par des personnes la prenne sans réfléchir et se font électrocuté. Mais pas toi...
Je lui tend la main un peu gêné.
-je suis désoler de t'avoir déranger mais je n'est pas eu une très bonne journée. Donc si ça ne te dérange pas je vais recommencé du débuts. Je m'appelle Lou Torahume, je fait partie du clan révolution et si t'as besoin D'aide pour te repérer dans le Lycée je suis là!

Lou eut un sourire ravi – au plus grand étonnement d’Aslög – et se levant, elle retourna la peluche et la lui désigna :
« Cette peluche est équipée d’un système de défense… Si tu avais pris cette peluche, elle t’aurait électrocutée. La plupart des personnes la prennent sans réfléchir et se font électrocutés. Mais pas toi… »
Elle semblait heureuse de ce geste, et Aslög retint un mouvement de recul. Attendez, est-ce qu’elle venait de dire que ce machin jaune criard était un objet qui électrocutait ? Et qu’elle le testait sur des gens ?
Bon dieu, les gens de ce lycée étaient vraiment bizarres.
Elle ne fit cependant aucun commentaire et s’apprêtait à prendre congé quand la brune lui tendit la main, un peu gênée mais un sourire engageant sur le visage :
« Je suis désolée de t’avoir dérangée, mais je n’ai pas eu une très bonne journée. Donc si ça ne te dérange pas, je vais recommencer du début. Je m’appelle Lou Torahume, je fais parti du clan Révolution et si tu as besoin d’aide pour te repérer dans le lycée, je suis là. »
La suédoise cligna des yeux. Bon. Cette fille la dérangeait dans son travail, se vexait d’une remarque et claquait sa porte juste par esprit de contradiction, tentait de l’électrocuter, puis elle se présentait poliment.
Bon. Comment était-on sensé réagir dans une situation pareille ?
« Aslög Hårklämma » répéta-t-elle d’un ton guindé.
Elle avisa la main de la jeune fille, et après un instant d’hésitation, elle la prit quelques secondes puis la relâcha comme si elle l’avait brûlée. Elle n’aimait pas les contacts humains ; c’était compulsif.
Peut-être fallait-il ajouter quelque chose d’autre, non ? Comme la remercier de sa proposition de l’aider ? Peut-être…
Bon, en tout cas, elle avait appris quelques détails. Son interlocutrice faisait partie du clan Révolution – Bon sang, mais à quel point étaient-ils nombreux ? – et semblait bien connaître le campus. Elle devait être là depuis longtemps donc.
Elle finit par se tirer de ses pensées en voyant le sourire de la brune qui attendait sans doute qu’elle ajoute quelque chose.
Que quelqu’un l’aide. Pitié.
Les yeux bruns de la suédoise passaient sur tous les détails de la pièce – sauf la brune en face d’elle, évidemment – cherchant à esquiver la conversation. Elle finit par soupirer légèrement, et ramenant une mèche blonde derrière son oreille ajouta aussi poliment qu’elle le put :
« Merci. De proposer ton aide, je veux dire. »
Bon, ça devait être suffisant. Ça lui paraissait beaucoup en tout cas.
Maintenant, elle devrait pouvoir s’en aller, non ?
Non ?

(NDA : Aslög est un cas social. C'est pas possible autrement.)

Elle me serra la main rapidement, comme si quelque chose n'allait pas. J'ai vérifiée je n'avais pas de bouse sur la main. Je me demandais ensuite si elle allait rajouter quelque chose ou si elle allait partir... Ce n'est pas que je ne l'aime pas mais je n'aime pas être en face d'une personne que je ne connaît pas vraiment, question de survie.
En attendant quelque chose, j'entendis un garçon crier qu'il voulait dormir. J'ai claqué la porte aussi violemment que ça? Bon...
Après une longue attente et un malaise de plus en plus grand elle me repond en fin: "Merci. De proposer ton aide, je veux dire."
Elle en avait mis du temps! Je me décide alors de la racompagner à l'extérieur de ma chambre et de lui dire au revoir. Enfin ça c'est ce que je voulais faire mais je n'arrivais pas à lui demander de partir. Elle allait peut êtres le prendre mal... Je sais! Je vais lui faire croire que je dois partir de ma chambre!

-je suis désolé mais je dois aller rejoindre quelqu'un.

La salle n'avait rien de bien particulier, le parquet est presque entièrement recouvert d'un tapis Berber blanc, les murs sont en plâtre et très mal isoler ce qui explique que l'on entende parfois des bruits suspect venant des chambres.
Des fauteuils étaient positionnés devant un écran plasma qui servait plus à joué aux jeux vidéos qu'à regarder des films.
Des tables et les quelques chaises restantes étaient inoccupées ou presque, on pouvait voire un cahier sur une des tables.
Une grande baie vitré donnait sur le lac. Il faisait vraiment beau aujourd'hui… je serai peut être rester dehors si il n'y avait eu Aslög, un vrai boulet cette fille!( sans vouloir t'offençer )
Je marchait tranquillement vers ma chambre. Il n'y avait pas grand monde dans la salle. Sur un canappé, une fille aux cheveux heuuu… vert et un garçon se bécotaient. Et c'était vraiment répugnant, un filet de bave pendait du menton de la jeune fille.
J'ai vraiment besoin de repos…



Je traverse donc l'aile des chambre réserver aux homme. Oui, car il faut savoir que l'école mixte a prévue des dortoirs séparé. Et le pire dans tous ça c'est une règle qui stipule que les garçons sont interdit dans l'aile réserver aux fille mais l'inverse n'est pas interdit! Genre on est des malade qui agresse les filles des qu'on en voie une!! Ceux qui ont dis ça ne connaissait pas Aslög!! Faut que j'arrête de m'en prendre à elle , serte c'est une peste mais quand même.

Enfin arrivé, avant de m'affalé sur le lit je pris le temps de refermer la porte à clef, j'avais déjà eu assez de mauvaises surprises pour aujourd'hui.
Bah pas si mauvaise après tout, "Aslög est vraiment très belle" pensais-je dans mon lit.
Je repensais aux événements, et plus j'y repensais plus je somnolait.
Je m'endormis finalement mais mon bonheur ne dura que quelques minute…
Des filles commençaient â crier plus loin:

« Quelle honte ! »

« Mince, j’ai parlé tout haut ! J’espère que personne ne m’a entendu ! J’ai déjà assez souffert comme ça ! ».

Un claquement de porte s'en suivis, s'en est trop!

Je me suis levé, ai marché jusqu'à ma porte et ai gueulé:
" Faites moins de bruit!! Je veux dormir!!!"
Après être revenu dans ma chambre et avoir oublier de fermer à clef ne constatais l'état de ma chambre...
…
Quel Bordel! Des papiers partouts, des cahiers éparpillés sur le bureau et des dessins plein les murs, autour des posters de films.
Je pris un peu de temps pour ranger ma chambre et elle en avait bien besoin.
Pour finir j'allume mon PC pour jouer à mon jeu préfère!
Et… et… mise à jour! Pourquoi? On est pas mercredi pourtant!!

Encore fatigué je me suis donc recouché

Alors qu’Aslög s’apprêtait à trouver une excuse (quelque chose, n’importe quoi) pour s’en aller, elle entendit une porte s’ouvrir violemment et une protestation dans le couloir.
« Faites moins de bruit ! Je veux dormir ! »
Allons bon. Justement, elle s’était déplacée pour le faire cesser ce bruit. Ce serait bien que tout le monde ne s’en mêle pas.
Et puis… Cette voix lui rappelait bizarrement quelqu’un. Un peu comme un espèce de crétin qui l’avait énervée alors qu’elle voulait être seule. Et non, elle n’était absolument pas rancunière. Et elle ne faisait pas preuve de mauvaise foi, non plus.
Elle inspira profondément pour s’empêcher de faire la moindre réflexion. Réflexion qui risquerait d’atteindre un très haut débit de parole et un bon nombre d’injures – suédoises – à la minute.
Lou semblait totalement indifférente à la plainte, et elle lui sourit gentiment avant d’avancer vers le porte, visiblement décidée à la faire sortir.
C’était bien vrai ? Elle allait s’en aller ?
La brune se mordit la lèvre, apparemment hésitante – pour une raison absolument inconnue d’Aslög qui ne parvenait qu’à penser à ‘’Sortir’’ ‘’S’en aller’’ ‘’Partir’’ et autre synonymes qui exprimeraient sa fuite immédiate.
Lou sembla avoir une illumination car elle sourit légèrement, puis elle regarda la suédoise d’un air navré.
« Je suis désolée mais je dois aller rejoindre quelqu’un. »
Si Aslög avait été d’humeur à faire preuve de sarcasme, elle aurait sûrement balancé un ‘’Oh, quel dommage’’.
Là, elle n’écouta que son cerveau qui lui hurlait de se barrer, et lançant un dernier coup d’œil à son interlocutrice, elle souffla :
« D’accord. Je vais y aller, alors. »
Et sans attendre la moindre réponse, et sans faire les salutations habituelles pour se dire au revoir, la suédoise abaissa la poignée et sortit de la pièce.
A pas rapides, elle retourna s’asseoir près du bureau sur lequel elle travaillait quelques minutes auparavant et laissa échapper un soupir de soulagement.
Elle jeta un coup d’œil dans le couloir, cherchant à détecter la présence d’autres élèves, et réprima un petit rictus quand elle remarqua Théobald qui fermait la porte de sa chambre d’un air énervé.
Elle hésita un instant puis décida de ne pas se faire remarquer et, nonchalamment, elle remit son casque sur ses oreilles, augmenta le volume de son mp3, puis se remit à feuilleter son manuel de cours.
Et son air concentré sur sa lecture, sa tête posé dans sa main, et le soin qu’elle avait pris à choisir l’endroit le moins fréquenté pour s’y asseoir fonctionnait au moins aussi bien qu’un grand panneau ‘’Fichez-moi la paix’’.
Peut-être même mieux.

(AN : Sincèrement désolée pour le temps à répondre, disons que j’ai été rattrapée par le temps et que la pile de devoir qui me semblait assez petite la première semaine des vacances s’est vue augmenter considérablement au fils des jours me rapprochant de la rentrée. Bref, maintenant j’ai tout terminé, et à moins qu’une catastrophe – telle qu’un DST – me tombe dessus, je devrais être relativement dispo malgré les cours. Encore désolée.).

Je n'arrivais vraiment pas à dormir. Il faisait vraiment trop chaud! Encore le chauffage qui déconne!
On a beau aéré rien ne peut faire baisser la température.

Je prend donc un petit carnet, un crayon et d'un coup de main habile, je prend mon chapeau.
Je sors de ma chambre et referme derrière moi. Il n'y a vraiment plus personne dans le bâtiment, tout le monde est dehors et ça parait logique.
Je traverse le couloirs et sors du bâtiment.



(t'en fais pas Aslog, de toute façons on est nous même occupé ces temps si. On va tout de même tenter d'être présent. Çà fait plaisir de voire que tu te connecte chaque jour.)